Commençons par comprendre la position empirique de la médecine occidentale.

Prenons l’exemple d’un muscle. Il se contracte parce que le cerveau en donne l’ordre, envoie un influx électrique via un nerf qui va provoquer des réactions chimiques au niveau du muscle, entraînant sa contraction. Le sys-tème d’information dans ce cas repose sur le couple influx nerveux / réactions chimiques intercellulaires.

Imaginons maintenant que l’ordre de se contracter passe par des ondes donc un réseau non matériel.

Cela veut dire par exemple que la télépathie est une réalité, qu’une émotion ressentie par une fille peut l’être par sa mère qui se tient dans un autre endroit, que des personnes qui méditent et se concentrent sur un patient peuvent transmettre des ondes positives et enclencher un début de guérison.

Mais cela explique aussi les réminiscences, les intuitions qu’un évènement immédiat va se produire, que la maladie peut se traiter sans intervention médicamenteuse.

Que l'information qui circule dans notre corps, passe aussi par les ondes, permet de comprendre comment un organe va être perturbé par elles immédiatement ou des années après l'émission.

Prenons là encore l'exemple du téléphone portable. Il capte tout aussi bien les SMS d'amour que ceux qui vous critiquent ou vous blessent. Et tant que vous ne les supprimez pas, ils restent dans la mémoire du téléphone. Le SMS est une onde porteuse d'informations, positives ou négatives.

Le même principe s'applique à nos organes. Le stress, par exemple, est une source d'émission d'ondes négatives, le plus souvent destructives si elles sont stockées, c'est à dire pas éliminées.

Les vibrations se stockent en se substituant aux ondes précedentes de l'organe en bonne santé.

Mais les ondes négatives peuvent aussi modifier le comportement et le fonctionnement de certaines protéines dont la mission est de lire les séquences d'ADN de nos chromosomes. Ces protéines perturbées peuvent lire une mauvaiseinformation ou mal l'interpréter. Cela provoque de décodage, à l'origine de pathologies graves.

C'est ce que l'épigénétique a mis en évidence.