Pendant mon service militaire dans un régiment d’infanterie alpine proche des commandos, nous avions beaucoup de casse humaine.
J’ai découvert qu’en apposant les mains sur mes douleurs et celles de mes compagnons, je les soulageais, voire les soigner.

Parallèlement, comme moniteur de sports je fus porté volontaire pour différents tests physiques à réaliser dans l’hôpital civil de la région. Un médecin, féru de technologies et de photos, ayant découvert que mon cœur battait au repos à 48 et avait une courbe de résistance à l’effort identique à des champions qui servaient d’étalon, décida de prendre un certain nombre de photos ou de clichés médicaux.

Sur certains apparurent des champs de rayonnement d’une taille bien supérieure à la normale. Ne pouvant l’expliquer, et n’étant plus parti vers des carrières médicales, ce phénomène fut laisser de côté pendant 30 ans.